Le Calvaire, Mirbeau Octave

3 000,00 CHF

MIRBEAU Octave, Le Calvaire.

Paul Ollendorff, éditeur, 1887, In-12.

Édition originale sur papier Hollande offert à Jules Clarétie (un des dix exemplaires sur Hollande).

Exemplaire offret à Jules Clarétie avec un important envoi d'Octave Mirbeau:

Cher ami, voulez-vous acceptez [sic] cet exemplaire sur Hollande du Calvaire ? Il n’a pas d’autre mérite que d’être introuvable. Et je serai très fier qu’il prenne place dans votre belle bibliothèque. Vous voyez que je suis un affreux intrigant... un intrigant qui vous aime bien. (26 janvier 1904)

André Billy a publié dans l’Oeuvre quelques dédicaces, dont celle d’Octave Mirbeau, avant la vente aux enchères de la bibliothèque de Jules de Clarétie en mars 1918.

Chose rare, l’exemplaire est truffé de la réponse de Clarétie à chaud à la réception de l’exemplaire en question :  “Cher ami, je reviens du théâtre...”

Provenance : Franchetti (ex-libris gravé portant la devise "Veris memor")

Le Calvaire est un roman d'Octave Mirbeau qui s'inspire largement de sa propre vie.

Le roman aborde la passion amoureuse dévastatrice. Mirbeau y critique également des institutions telles que la famille, l'école et surtout l'armée, notamment à travers une description sans concession de la débâcle de l'armée française lors de la guerre franco-prussienne qui lui vaudra quelques ennuis.

Important exemplaire dans une reliure d’époque signée Franz qui témoigne de la relation dense complexe entre l’auteur et Clarétie alors administrateur général de la Comédie-Française et l’importance du second dans le monde littéraire de l’époque.

Mirbeau avait possiblement l’intention dès 1890 d’adapter son livre au théâtre comme il l’indique à l’un de ses créanciers, Arthur Caussou, et qu’il comptait probablement sur le soutien de Jules Clarétie, projet dont Clarétie ne fait nulle mention dans ses correspondances.  

MIRBEAU Octave, Le Calvaire.

Paul Ollendorff, éditeur, 1887, In-12.

Édition originale sur papier Hollande offert à Jules Clarétie (un des dix exemplaires sur Hollande).

Exemplaire offret à Jules Clarétie avec un important envoi d'Octave Mirbeau:

Cher ami, voulez-vous acceptez [sic] cet exemplaire sur Hollande du Calvaire ? Il n’a pas d’autre mérite que d’être introuvable. Et je serai très fier qu’il prenne place dans votre belle bibliothèque. Vous voyez que je suis un affreux intrigant... un intrigant qui vous aime bien. (26 janvier 1904)

André Billy a publié dans l’Oeuvre quelques dédicaces, dont celle d’Octave Mirbeau, avant la vente aux enchères de la bibliothèque de Jules de Clarétie en mars 1918.

Chose rare, l’exemplaire est truffé de la réponse de Clarétie à chaud à la réception de l’exemplaire en question :  “Cher ami, je reviens du théâtre...”

Provenance : Franchetti (ex-libris gravé portant la devise "Veris memor")

Le Calvaire est un roman d'Octave Mirbeau qui s'inspire largement de sa propre vie.

Le roman aborde la passion amoureuse dévastatrice. Mirbeau y critique également des institutions telles que la famille, l'école et surtout l'armée, notamment à travers une description sans concession de la débâcle de l'armée française lors de la guerre franco-prussienne qui lui vaudra quelques ennuis.

Important exemplaire dans une reliure d’époque signée Franz qui témoigne de la relation dense complexe entre l’auteur et Clarétie alors administrateur général de la Comédie-Française et l’importance du second dans le monde littéraire de l’époque.

Mirbeau avait possiblement l’intention dès 1890 d’adapter son livre au théâtre comme il l’indique à l’un de ses créanciers, Arthur Caussou, et qu’il comptait probablement sur le soutien de Jules Clarétie, projet dont Clarétie ne fait nulle mention dans ses correspondances.