Poëmes Saturniens, VERLAINE Paul

6 000,00 CHF

Paris, Alphonse Lemerre 1868, In-8 (185x125 mm)

Édition originale sur Vélin du premier livre de Verlaine. 

La couverture jaune porte bien la date de 1867. 

Carteret, II, p. 413 ; Vicaire, VII, col. 989.

Il a été tiré à 505 exemplaires, 5 sur papier de Chine, 9 sur Hollande et 491 sur papier vélin.

Provenance : Exemplaire ayant appartenu à Roger Budin, bibliophile genevois renommé, avec son ex-libris.

Bel exemplaire de cette oeuvre majeure de la poésie dans une reliure sobre et bien executée. 

Sainte-Beuve écrivit à Verlaine: "Du talent, il y en a et je le salue avant tout. Votre inspiration est élevée ..." (lettre à Verlaine, 10 décembre 1866). Edmond Lepelletier commente ainsi cette opinion : "un véritable brevet de poète et d'artiste, décerné par un maître compétent et autorisé" (Paul Verlaine, sa vie et son œuvre, Mercure de France 1907, p. 145-146). 

Victor Hugo remercia ainsi Verlaine pour l'envoi de son recueil : "Une des joies de ma solitude, c'est, Monsieur, de voir se lever en France, dans ce grand dix-neuvième siècle, une jeune aube de vraie poésie [...] Certes, vous avez le souffle. Vous avez le vers large et l'esprit inspiré..." (lettre datée d'Hauteville-House, Guernesey, le 22 avril 1867). Stéphane Mallarmé salua "un métal vierge et neuf".

Vicaire, Manuel de l’amateur du XIXe siècle, VII, p. 989. Carteret, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, II, p. 413. Clouzot, Guide du bibliophile français XIXe siècle, p. 266.

Paris, Alphonse Lemerre 1868, In-8 (185x125 mm)

Édition originale sur Vélin du premier livre de Verlaine. 

La couverture jaune porte bien la date de 1867. 

Carteret, II, p. 413 ; Vicaire, VII, col. 989.

Il a été tiré à 505 exemplaires, 5 sur papier de Chine, 9 sur Hollande et 491 sur papier vélin.

Provenance : Exemplaire ayant appartenu à Roger Budin, bibliophile genevois renommé, avec son ex-libris.

Bel exemplaire de cette oeuvre majeure de la poésie dans une reliure sobre et bien executée. 

Sainte-Beuve écrivit à Verlaine: "Du talent, il y en a et je le salue avant tout. Votre inspiration est élevée ..." (lettre à Verlaine, 10 décembre 1866). Edmond Lepelletier commente ainsi cette opinion : "un véritable brevet de poète et d'artiste, décerné par un maître compétent et autorisé" (Paul Verlaine, sa vie et son œuvre, Mercure de France 1907, p. 145-146). 

Victor Hugo remercia ainsi Verlaine pour l'envoi de son recueil : "Une des joies de ma solitude, c'est, Monsieur, de voir se lever en France, dans ce grand dix-neuvième siècle, une jeune aube de vraie poésie [...] Certes, vous avez le souffle. Vous avez le vers large et l'esprit inspiré..." (lettre datée d'Hauteville-House, Guernesey, le 22 avril 1867). Stéphane Mallarmé salua "un métal vierge et neuf".

Vicaire, Manuel de l’amateur du XIXe siècle, VII, p. 989. Carteret, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, II, p. 413. Clouzot, Guide du bibliophile français XIXe siècle, p. 266.